DescriptionEnsemble de Lenotre G. - Drame de Varennes et Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge
Le Drame de Varennes de G. Lenotre : une des plus célèbres et plus terribles fuites de l'Histoire de France ! « ?
Fuyez, fuyez ! supplie Fersen. « Depuis la fameuse nuit du 5 au 6 octobre 1789, où un cortège de cinq à six mille femmes est venu de Paris chercher à Versailles « le boulanger, la boulangère et le petit mitron », le comte Axel de Fersen, le tendre ami de la reine Marie-Antoinette, insiste pour que la famille royale se soustraie aux émeutiers par la suite.
« Le roi, tiraillé entre son sens du devoir, un certain don de soi, la confiance qu’il a en son peuple et l’envie de protéger sa famille, hésite.
La reine, elle, est persuadée qu’il faut partir pour mieux lutter contre ces mouvements révolutionnaires.
Mais elle ne veut pas partir sans le roi. « Cependant, le roi se sent de plus en plus captif et, encouragé par Mirabeau, finit par céder aux supplications de Fersen. « Et le 20 juin 1791, à minuit, rue de l’Échelle, près des guichets du Louvre, devant l’hôtel Gallarbois, une citadine attend les fugitifs : le roi, la reine, madame Élisabeth, madame de Tourzel et les deux enfants royaux. « C’est le début d’un voyage de vingt heures dont l’issue sera décisive pour le sort de la monarchie.
« Un voyage dont G. Lenotre, le père de la petite histoire, restitue les moindres détails, les erreurs, les retards, les négligences et les trahisons avec une inlassable et méticuleuse passion. Pour cela il ne s’est pas contenté de compulser les documents d’archives. Un 21 juin, il décide de refaire le parcours. A une heure du matin, il part des Tuileries pour Varennes en voiture à cheval. « Ainsi, la lecture passionnante et émouvante du Drame de Varennes de G. Lenotre, fera revivre au chasseur de souvenirs ce drame historique et humain déterminant pour notre histoire. »
Le Drame de Varennes de G. Lenotre, un volume in-octavo (14 x 21 cm), relié plein cuir, or véritable au dos avec décor similaire à celui du Vrai Chevalier de Maison-Rouge , qu'il complète merveilleusement.
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Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge de G. Lenotre : la dernière tentative de faire évader la reine Marie-Antoinette de la Conciergerie ou "l’affaire de l’œillet". Paris, le 28 août 1793, au matin, le chevalier de Rougeville, accompagné de Michonis, administrateur des prisons, pénètre sous les voûtes sombres de la Conciergerie. Rougeville pousse la porte d’une geôle basse et humide et distingue dans la pénombre la silhouette si grande, si noble, si malheureuse de la reine Marie-Antoinette.
Son cœur bat à tout rompre.
Le chevalier lui montre d’un signe rapide l’œillet qu’il porte à la boutonnière, le détache et le jette derrière le poêle. L’œillet contient un billet : « Si vous avez besoin de 300 à 400 louis pour ce qui vous entoure, je vous les porterai vendredi prochain. » G. Lenotre raconte d’une plume alerte l’étonnante histoire de ce chevalier de Saint Louis, baptisé par Alexandre Dumas « le chevalier de Maison-Rouge », resté envers et contre tout fidèle à sa reine et ce qu'il advint de lui après l'exécution de Marie-Antoinette.
"Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge" de G. Lenotre : un volume au format in-octavo (14 x 21 cm), de nombreuses illustrations et tout le savoir-faire de Jean de Bonnot qui présente en édition d'art, la véritable histoire du chevalier de Rougeville.
Fuyez, fuyez ! supplie Fersen. « Depuis la fameuse nuit du 5 au 6 octobre 1789, où un cortège de cinq à six mille femmes est venu de Paris chercher à Versailles « le boulanger, la boulangère et le petit mitron », le comte Axel de Fersen, le tendre ami de la reine Marie-Antoinette, insiste pour que la famille royale se soustraie aux émeutiers par la suite.
« Le roi, tiraillé entre son sens du devoir, un certain don de soi, la confiance qu’il a en son peuple et l’envie de protéger sa famille, hésite.
La reine, elle, est persuadée qu’il faut partir pour mieux lutter contre ces mouvements révolutionnaires.
Mais elle ne veut pas partir sans le roi. « Cependant, le roi se sent de plus en plus captif et, encouragé par Mirabeau, finit par céder aux supplications de Fersen. « Et le 20 juin 1791, à minuit, rue de l’Échelle, près des guichets du Louvre, devant l’hôtel Gallarbois, une citadine attend les fugitifs : le roi, la reine, madame Élisabeth, madame de Tourzel et les deux enfants royaux. « C’est le début d’un voyage de vingt heures dont l’issue sera décisive pour le sort de la monarchie.
« Un voyage dont G. Lenotre, le père de la petite histoire, restitue les moindres détails, les erreurs, les retards, les négligences et les trahisons avec une inlassable et méticuleuse passion. Pour cela il ne s’est pas contenté de compulser les documents d’archives. Un 21 juin, il décide de refaire le parcours. A une heure du matin, il part des Tuileries pour Varennes en voiture à cheval. « Ainsi, la lecture passionnante et émouvante du Drame de Varennes de G. Lenotre, fera revivre au chasseur de souvenirs ce drame historique et humain déterminant pour notre histoire. »
Le Drame de Varennes de G. Lenotre, un volume in-octavo (14 x 21 cm), relié plein cuir, or véritable au dos avec décor similaire à celui du Vrai Chevalier de Maison-Rouge , qu'il complète merveilleusement.
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Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge de G. Lenotre : la dernière tentative de faire évader la reine Marie-Antoinette de la Conciergerie ou "l’affaire de l’œillet". Paris, le 28 août 1793, au matin, le chevalier de Rougeville, accompagné de Michonis, administrateur des prisons, pénètre sous les voûtes sombres de la Conciergerie. Rougeville pousse la porte d’une geôle basse et humide et distingue dans la pénombre la silhouette si grande, si noble, si malheureuse de la reine Marie-Antoinette.
Son cœur bat à tout rompre.
Le chevalier lui montre d’un signe rapide l’œillet qu’il porte à la boutonnière, le détache et le jette derrière le poêle. L’œillet contient un billet : « Si vous avez besoin de 300 à 400 louis pour ce qui vous entoure, je vous les porterai vendredi prochain. » G. Lenotre raconte d’une plume alerte l’étonnante histoire de ce chevalier de Saint Louis, baptisé par Alexandre Dumas « le chevalier de Maison-Rouge », resté envers et contre tout fidèle à sa reine et ce qu'il advint de lui après l'exécution de Marie-Antoinette.
"Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge" de G. Lenotre : un volume au format in-octavo (14 x 21 cm), de nombreuses illustrations et tout le savoir-faire de Jean de Bonnot qui présente en édition d'art, la véritable histoire du chevalier de Rougeville.
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